Augmentation mammaire Lausanne

L’augmentation mammaire est la chirurgie mammaire la plus populaire dans le monde. Pour en savoir plus sur cette opération, nous avons répertoriés les principales questions réponses  connaître :

Comment fonctionne l’augmentation mammaire ?

La taille et la forme des seins sont deux caractéristiques qui doivent être soigneusement évaluées dans la phase préopératoire. Il est important de s’en remettre à un bon chirurgien qui, après un examen attentif de la patiente, saura donner les bonnes indications pour obtenir de plus beaux seins en harmonie avec le reste du corps.

Il s’agit d’une méthode de positionnement des implants mammaires lors d’une procédure d’augmentation mammaire. Avec le placement en double plan, l’implant est inséré de manière à ce que deux tiers de celui-ci soit protégé par le muscle pectoral et un tiers par la glande mammaire, ce qui donne un résultat très naturel et sûr.

Pour les femmes ayant des enfants en bas âge, pour les sportives et pour toutes les femmes qui travaillent et qui ne peuvent pas se permettre de ralentir leur routine quotidienne, il existe la possibilité de subir une augmentation mammaire en utilisant des implants mammaires en polyuréthane, un matériau qui adhère parfaitement au tissu mammaire. Les implants en polyuréthane ne sont pas sujets à la dislocation, il n’est donc pas nécessaire de limiter les mouvements du bras après l’opération.

La chirurgie d’augmentation mammaire est en fait l’une des procédures les plus populaires de la chirurgie esthétique. Cela est dû à la fois à l’importance particulière du sein dans la culture occidentale et à la simplicité de l’opération. Aussi simple soit-elle, elle doit être réalisée avec la plus grande précision par un professionnel spécifique : ne faites toujours confiance qu’à un spécialiste de la chirurgie plastique et reconstructive, et non à d’autres médecins.

L’opération doit être réalisée dans des maisons de retraite ou des cliniques modernes et bien équipées, sous la supervision d’un anesthésiste expérimenté ; méfiez-vous des salles d’opération improvisées dans de petits cabinets ou dans des cadres peu convaincants.

Il faut d’abord tenir compte des souhaits de la patiente concernant le volume ou la forme de ses futurs seins. Le chirurgien vous conseillera alors sur la base de son expérience professionnelle en évaluant des paramètres objectifs tels que la taille, le poids, la largeur des épaules, la constitution générale, etc. C’est au cours de la ou des premières visites que les détails techniques seront décidés : où placer les implants (plus ou moins profonds ?), quelle technique utiliser, etc.

Toute l’attention et le temps nécessaires doivent être consacrés à cette première phase, disons de planification, lors d’une ou plusieurs visites ultérieures. Pas de précipitation.

Les implants les plus couramment utilisés sont ceux en silicone car ils sont actuellement

Les implants les plus utilisés sont ceux en silicone car ils offrent les meilleures garanties en termes de sécurité et de naturel. Il existe de nombreux types et marques différents : le chirurgien a normalement un fabricant de référence en fonction de son expérience et de ses habitudes personnelles. Il décidera des caractéristiques techniques de la prothèse : ronde ou anatomique ? Profil haut ou bas ? Quelle taille ? etc.

Il décidera des caractéristiques techniques de la prothèse : ronde ou anatomique, haute ou basse, etc., mais toujours en fonction des caractéristiques de la patiente qu’il a en face de lui et conformément à la règle d’or selon laquelle « il n’y a pas de prothèse idéale mais une prothèse spécifique pour chaque sein ».

En tout état de cause, les meilleurs produits sont aujourd’hui garantis à vie par les fabricants.

L’utilisation d’implants mammaires est répandue dans le monde entier depuis des décennies.

Il a été démontré qu’ils sont essentiellement inoffensifs et des études spécifiques sont menées en permanence pour écarter tout risque réel lié à leur utilisation.

En particulier, la corrélation hypothétique entre l’apparition d’un lymphome (ALCL) et l’utilisation d’un type particulier de prothèse est actuellement évaluée. Il convient de préciser que le nombre de cas est extrêmement faible : 800 cas au total ont été signalés sur 20 à 30 millions de femmes implantées dans le monde.

Les implants mammaires sont constitués d’un matériau biologiquement inerte, c’est pourquoi le rejet est pratiquement inexistant. Dans un petit pourcentage de cas, cependant, un durcissement ou une rigidité variable du sein peut se produire en raison d’une réponse inflammatoire du corps à l’implant : c’est ce qu’on appelle une  » capsule « . Il ne s’agit pas d’un événement dangereux, mais il peut, dans les cas les plus prononcés, nécessiter une correction chirurgicale supplémentaire.

Les cicatrices résiduelles ne sont normalement pas très visibles car elles ne mesurent que quelques centimètres. En principe, il existe trois voies d’accès différentes pour l’introduction des implants : à partir du bord inférieur de l’aréole, de l’aisselle et du pli sous-mammaire. Le choix se fait en tenant compte de certains paramètres anatomiques et selon la préférence du patient. La qualité finale des cicatrices dépend de nombreux facteurs qui ne sont pas toujours prévisibles : elles ont tendance à s’améliorer avec le temps et ne créent normalement pas de problèmes particuliers.

Toutefois, de petites retouches ultérieures sous anesthésie locale sont toujours possibles.